Une bonne dépressive est une dépressive idiote ! Il faut le savoir ! Non non, on défend le problème comme étant une maladie réelle, ce qui est vrai, mais pour autant, cette maladie rend stupide !
Parce que la première pensée qui tombe quand tout va mal, c'est le grand et vénérable "personne ne m'aime" et mon appel au secours m'a bien démontré le contraire. D'ailleurs, je vous remercie tous d'avoir ruiné la batterie de mon iphone en messages. Si quand tu mentionnes que tu vas mal et que tu reçois 30 messages de soutien, en théorie, tu dois te rappeler que tu n'es ni seule ni abandonnée ! Je vous jure, ça va déjà mieux ! Bon c'pas non plus les palmiers de Tahiti mais ça fait du bien là où ça passe !
Mais surtout, un merci à une personne en particulier, qui se reconnaîtra, pour avoir eu les bons mots, la bonne attitude, parce qu'elle me comprend pour avoir vécu la même chose (comme je la comprends pour ce qu'elle ressent). Elle a su comprendre le "Je vais te parler même si tu ne peux pas parler toi actuellement", accepter mes "oui" et mes "d'accord" sans prendre ombrage de ma limitation et simplement apporter un peu de son expérience sans exiger et sans juger. Comprendre que tout peut agresser lorsque l'on s'écroule et agir en conséquence, c'est une vraie preuve de psychologie et d'amitié.
Et un autre merci pour la soirée entre potes, façon picnic sous les gouttes, qui m'a fait déconnecter quelques heures de mes angoisses ! Et pour les marques d'amitiés que je rendrai au centuple... Tu le sais bien...
Lorsque l'on est si bien entouré, il est impossible de vouloir se foutre en l'air... Il faut simplement trouver comment endurer la douleur passagère... Même si le coté passager perdure un peu trop longtemps à mon gout...
Merci à tous ceux qui se sont manifestés... Merci même si je ne sais pas toujours comment répondre...
mardi 26 juillet 2011
Ne pas se foutre en l'air - Méthodes de survie !
Voici un post participatif, un post de survie pour ainsi dire !
C'est simple, sous peu, je vais finir par aller taper à la porte de St Antoine et demander à être prise en charge pour un bon moment, parce que je n'arrive absolument plus à gérer les évènements, le quotidien, la douleur et moi-même !
J'ai passé une soirée à regarder la boite de Lexomil en me demandant si ca se marierait mieux avec du vin rouge ou du rosé ... J'pense pas que j'aille très bien !
Alors à vous tous, surtout ceux avec qui j'ai passé des heures à discuter ou jouer les zorro pour vous aider pendant vos dépressions, j'escompte un petit coup de main.
N'ayant pas de but personnel, outre celui d'attendre la mort échouée sur mon canapé (oh combien productif) je vais vous demander à chacun de me faire une petite liste de choses à faire pour me remettre sur les rails. Il faut que ce soit réalisable et pas complètement farfelu (non je ne danserai pas la lambada en string chez C&C NAN ! ) et surtout qu'il y a ait un intérêt pour me rétablir rapidement. Du coup ne me filez pas des objectifs qui vont prendre 6 mois, il me faut des choses à faire sur du court terme pour sortir de la merde dans laquelle je suis. En gros gros, remotivez moi à vivre, avant que je me jette par la fenêtre !
Du plus simple au plus original, tant que c'est à but thérapeutique je prends !
Je ferai un post de suivi avec vos propositions et je checkerai ce que j'aurai fait
Vous pouvez laisser vos recommandations par mail : sustain.red.f at gmail . com, par facebook, en commentaire ou par sms (abstenez-vous de m'appeler, je suis incapable de communiquer oralement)
Merci pour votre investissement !
C'est simple, sous peu, je vais finir par aller taper à la porte de St Antoine et demander à être prise en charge pour un bon moment, parce que je n'arrive absolument plus à gérer les évènements, le quotidien, la douleur et moi-même !
J'ai passé une soirée à regarder la boite de Lexomil en me demandant si ca se marierait mieux avec du vin rouge ou du rosé ... J'pense pas que j'aille très bien !
Alors à vous tous, surtout ceux avec qui j'ai passé des heures à discuter ou jouer les zorro pour vous aider pendant vos dépressions, j'escompte un petit coup de main.
N'ayant pas de but personnel, outre celui d'attendre la mort échouée sur mon canapé (oh combien productif) je vais vous demander à chacun de me faire une petite liste de choses à faire pour me remettre sur les rails. Il faut que ce soit réalisable et pas complètement farfelu (non je ne danserai pas la lambada en string chez C&C NAN ! ) et surtout qu'il y a ait un intérêt pour me rétablir rapidement. Du coup ne me filez pas des objectifs qui vont prendre 6 mois, il me faut des choses à faire sur du court terme pour sortir de la merde dans laquelle je suis. En gros gros, remotivez moi à vivre, avant que je me jette par la fenêtre !
Du plus simple au plus original, tant que c'est à but thérapeutique je prends !
Je ferai un post de suivi avec vos propositions et je checkerai ce que j'aurai fait
Vous pouvez laisser vos recommandations par mail : sustain.red.f at gmail . com, par facebook, en commentaire ou par sms (abstenez-vous de m'appeler, je suis incapable de communiquer oralement)
Merci pour votre investissement !
vendredi 22 juillet 2011
Vide
La valeur des gens se reconnait-elle a son entourage ? Il parait même qu'on a les amis que l'on mérite. Et si on les perd ? Que se passe-t-il ? On cesse d'exister ? Et si perdre les gens signifiait simplement que l'on ne vaut rien? Batailles après batailles, perdues, que reste-t-il ?
Il ne reste plus grand chose... Nous ne sommes pas fait pour la solitude. Etre seul, c'est être mort.
Remplir le vide ou creuver... A petit feu...
Il ne reste plus grand chose... Nous ne sommes pas fait pour la solitude. Etre seul, c'est être mort.
Remplir le vide ou creuver... A petit feu...
mercredi 20 juillet 2011
Tout va bien...
On s'accroche un sourire, on se voile les facettes.
On s'ennivre d'écrire ce qui, parfois, inquiète.
Fermer les yeux, très fort, taper du poing, toujours.
Pleurer son confort et parfaire les discours...
Tout va bien... Je t'assure...
On se joue de soi-même, sans oser se mentir.
Quelconque stratagème ? Où va t-il aboutir ?
Regarde, je suis debout... Un pied, puis l'autre ensuite...
Je fais fi du dégout, de cette douleur fortuite...
Tout va bien... Je te jure...
Ne pas paniquer, solutions à tout
On te l'a répété, on encaisse les coups.
On ne meure pas d'aimer, on meure tout juste de vivre.
Toujours remplacer pour que l'être s'ennivre.
Tout va bien... Sois en sûr...
Si près, pourtant si loin, ce qui coure sous la peau,
Sans être anodin, se brise en morceaux...
On se ramasse le coeur comme on range les mots.
Garder la chaleur, assumer son fardeau...
Elle va bien... La blessure...
Et n'avoir foi en rien, coffre-fort de nos âmes.
L'incertain de demain, le doute qui s'enflamme.
Ceci ou celà ? Ici ou ailleurs ?
Fier d'être encore là, l'utopie en demeure.
Tout va bien... A l'usure...
On se sent un peu lâche de ne pas plonger,
La survie qui attache, faire encore perdurer...
Trouver des palliatifs, dénicher une raison.
Besoin impératif de consécration...
Elle tient bien... Notre armure...
On s'ennivre d'écrire ce qui, parfois, inquiète.
Fermer les yeux, très fort, taper du poing, toujours.
Pleurer son confort et parfaire les discours...
Tout va bien... Je t'assure...
On se joue de soi-même, sans oser se mentir.
Quelconque stratagème ? Où va t-il aboutir ?
Regarde, je suis debout... Un pied, puis l'autre ensuite...
Je fais fi du dégout, de cette douleur fortuite...
Tout va bien... Je te jure...
Ne pas paniquer, solutions à tout
On te l'a répété, on encaisse les coups.
On ne meure pas d'aimer, on meure tout juste de vivre.
Toujours remplacer pour que l'être s'ennivre.
Tout va bien... Sois en sûr...
Si près, pourtant si loin, ce qui coure sous la peau,
Sans être anodin, se brise en morceaux...
On se ramasse le coeur comme on range les mots.
Garder la chaleur, assumer son fardeau...
Elle va bien... La blessure...
Et n'avoir foi en rien, coffre-fort de nos âmes.
L'incertain de demain, le doute qui s'enflamme.
Ceci ou celà ? Ici ou ailleurs ?
Fier d'être encore là, l'utopie en demeure.
Tout va bien... A l'usure...
On se sent un peu lâche de ne pas plonger,
La survie qui attache, faire encore perdurer...
Trouver des palliatifs, dénicher une raison.
Besoin impératif de consécration...
Elle tient bien... Notre armure...
Harry Pottère et Valdemart
Harry Potter et Voldemort ont pris cher pour la sortie du dernier volet...
A tout bon film un remake, voici Harry Pottère contre Valdemart ! Le dernier aux puces ;-)
mardi 19 juillet 2011
Eva Longoria lesbienne
Le meilleur moyen de faire marcher une daube c'est de caler une actrice célèbre sacrément bonne entre les seins d'une autre actrice pas moche du tout ! La gouine fait vendre en ce moment (mais la gouine féminine hein, Josiane Balasko ne fait toujours pas fantasmer les beaufs hétéros - Pas grave, les femmes s'y font prendre gnark)
Without men, je sens que je n'irai pas le voir et que je m'en tiendrai à la bande annonce, c'est le meilleur t'façon.
Without men, je sens que je n'irai pas le voir et que je m'en tiendrai à la bande annonce, c'est le meilleur t'façon.
lundi 18 juillet 2011
Va te faire foutre !
Les déclarations d'amour à deux balles, les prétendues amitiés pour la vie et j'en passe... J'en suis revenue et il ne faudra plus rien attendre de moi, ni aujourd'hui, ni demain.
A bon entendeur...
A bon entendeur...
dimanche 17 juillet 2011
Hot in cleveland vs les craquantes
Si comme moi vous avez une culture vaste et totalement anarchique, vous avez peut-être eu la chance de regarder à la télé il y a fort fort lointain une série géniale "Les craquantes" (The golden girls) et si votre mémoire vous lache voici de quoi situer :
J'adorais à l'époque, et pourtant j'étais gosse !
J'ai découvert grace à Khamael "Hot in Cleveland" qui ressemble très étrangement au concept des craquantes (le hasard est exclu :D ) et en prime Betty White en vieille dame aigrie comme lien évident !
Si vous avez aimé la première série, n'hésitez pas, foncez découvrir Hot in Cleveland
Et comme je suis super sympa voici de quoi regarder en streaming :
http://www.dpstream.net/serie-1906.html
J'adorais à l'époque, et pourtant j'étais gosse !
J'ai découvert grace à Khamael "Hot in Cleveland" qui ressemble très étrangement au concept des craquantes (le hasard est exclu :D ) et en prime Betty White en vieille dame aigrie comme lien évident !
Si vous avez aimé la première série, n'hésitez pas, foncez découvrir Hot in Cleveland
Et comme je suis super sympa voici de quoi regarder en streaming :
http://www.dpstream.net/serie-1906.html
jeudi 14 juillet 2011
On se court, mon amour, l'autre après l'un
On s'écrit les mêmes mots, on se dit que l'on s'aime
On se lie pour de faux et puis quand bien même
Tout nous illusionne
Tout nous emprisonne
On se vit dans des murs qu'on a repeint cent fois
On en jouit à l'allure qu'on se donne parfois
Et l'on se pardonne
De n'être que des Hommes
On se berce à des phrases qui ne veulent plus rien dire
On se joue, on déphase puisque ca électrise
D'accord pour l'enfer
L'accord à l'envers
On se court, au secours, les autres après les uns
On en fait des détours, on se brise au matin
On se court, mon amour, l'autre après l'un
On en crève des "toujours" qui ne valent plus rien
On se vend pour la vie, on se quitte pour la vivre
Les rencontres, les acquis, les désirs qui ennivrent
Bouger tant qu'on peut
Tout changer en mieux
On se paye le prix fort, la conscience modifiée
On se dit qu'on a tort, puisqu'à soi, ne penser
Et l'on se raisonne
De prendre quand on donne.
On ne croit qu'en ses choix, on n'accorde qu'à soi
Les autres ne sont là qu'en substitut de croix
D'accord pour la guerre
L'avant sans arrière
J'étais prête à vous dire que j'ignorais de quand datait ce texte mais l'informatique est là pour remplacer les mémoires défaillantes... Alors voilà, j'ai pondu ça en 2009... Putain deux ans et les mots résonnent encore en moi. Oui, je suis capable de me reconnaître dans mes propres écrits. J'ai un coté Madame Irma, je me prédis l'avenir à moi-même (et je vous jure, quand je relis ce que j'écrivais à 16 ans, c'est vraisemblable :D )
Ce post est la suite logique d'une discussion eut ce soir avec un très bon ami, qui, même s'il le nie, écrit très bien, et est capable de transmettre des émotions.
Vous pouvez le lire ici :
http://marquisnawakin.canalblog.com/archives/2011/07/13/21602585.html
L'évidence... Cette putain "d'évidence" qui me ruine l'existence ! Et croyez-moi, des évidences, je n'en ai pas eu des masses... J'en ai eu deux et j'ai trouvé le moyen non seulement de les avoir quasi en même temps, mais en prime de les paumer ! L'une il y a déjà quelques mois, l'autre récemment (la perte, pas les histoires) ! Je ne me suis jamais sentie aussi vide qu'en ce moment, et je rame entre l'envie de me jeter par la fenêtre et l'envie de me pendre ! Le décor est planté !
D'un coté une histoire d'amour que j'ai eu l'impression de vivre en demie-teinte, qui a foiré comme un pétard du 14 juillet balancé par un pré-ado, et de l'autre une amitié fusionnelle qui a trouvé ses limites dans l'ultime partage, contre toute attente. En fait c'est ça, ma vie se résume à du "contre toute attente"... C'est l'autoroute du bonheur et finalement tu finis sur les chemins de campagnes en priant pour ne pas finir dans le fossé. Le tout sous une pluie battante, histoire de ne pas bien savoir où tu vas.
Le problème de l'évidence, c'est qu'elle ne part pas du jour au lendemain, simplement parce que tu décides que c'est terminé, ou même que les évènements ont fait capoté l'affaire ! Nan nan nan, ca reste, c'est là, ça te grignote les tripes, quoique tu fasses, quoique tu vives ! Pire, l'empathie, Le Lien, te balance des émotions que tu n'as pas demandé... C'est comme avoir perdu une jambe et avoir des béquilles disponibles de façon aléatoire. Aujourd'hui ca roule, demain c'est la panne sèche. Hier et demain n'ont aucune continuité, au milieu, c'est n'importe quoi.
Ces derniers temps, j'ai reçu plusieurs messages difficiles à gérer, parce qu'ils disaient la même chose... "Je sens que nous avons quelque chose à vivre, laisse moi une chance". Une chance ? Plutôt une place, et de la place, il n'y en a pas. Entre la culpabilité de faire souffrir les gens et l'instinct de survie qui exige la distance. Je prends pourtant le temps de prévenir qu'il ne faut pas s'attacher à moi. A croire que les femmes sont masochistes et aiment galoper après les casse-couilles ! Ouai bon ok ca aussi c'est une évidence ! Mais je ne suis pas une salope et je ne veux pas en avoir l'impression... Mais à trop éloigner les autres, on finit par éloigner ses amis. Alone in the dark !
Et ce soir, cet ami m'a rappelé que ces fichues évidences ne sont pas vaines, qu'il y a un avenir, un retour. Qu'une absence, une distance, ne met pas un terme à une relation. Vivre séparés un temps ne veut pas dire qu'il n'y aura pas de retrouvailles... Et qu'au contraire, ça aura lieu, qu'il faut se laisser le temps... Ce n'est pas fini, c'est une pause pour que l'après puisse exister ! S'il n'y a pas de doutes, c'est que les mains pourront encore se toucher...
Je t'ai reconnu. Je t'aime, où que tu sois, je t'attends quoique tu vives. Tu es là, tu es en moi.
Je ne suis pas seule. Tu n'es pas seule. Temporairement, tu es loin.
Mais...
Inexorablement...
On se revient...
On se lie pour de faux et puis quand bien même
Tout nous illusionne
Tout nous emprisonne
On se vit dans des murs qu'on a repeint cent fois
On en jouit à l'allure qu'on se donne parfois
Et l'on se pardonne
De n'être que des Hommes
On se berce à des phrases qui ne veulent plus rien dire
On se joue, on déphase puisque ca électrise
D'accord pour l'enfer
L'accord à l'envers
On se court, au secours, les autres après les uns
On en fait des détours, on se brise au matin
On se court, mon amour, l'autre après l'un
On en crève des "toujours" qui ne valent plus rien
On se vend pour la vie, on se quitte pour la vivre
Les rencontres, les acquis, les désirs qui ennivrent
Bouger tant qu'on peut
Tout changer en mieux
On se paye le prix fort, la conscience modifiée
On se dit qu'on a tort, puisqu'à soi, ne penser
Et l'on se raisonne
De prendre quand on donne.
On ne croit qu'en ses choix, on n'accorde qu'à soi
Les autres ne sont là qu'en substitut de croix
D'accord pour la guerre
L'avant sans arrière
J'étais prête à vous dire que j'ignorais de quand datait ce texte mais l'informatique est là pour remplacer les mémoires défaillantes... Alors voilà, j'ai pondu ça en 2009... Putain deux ans et les mots résonnent encore en moi. Oui, je suis capable de me reconnaître dans mes propres écrits. J'ai un coté Madame Irma, je me prédis l'avenir à moi-même (et je vous jure, quand je relis ce que j'écrivais à 16 ans, c'est vraisemblable :D )
Ce post est la suite logique d'une discussion eut ce soir avec un très bon ami, qui, même s'il le nie, écrit très bien, et est capable de transmettre des émotions.
Vous pouvez le lire ici :
http://marquisnawakin.canalblog.com/archives/2011/07/13/21602585.html
L'évidence... Cette putain "d'évidence" qui me ruine l'existence ! Et croyez-moi, des évidences, je n'en ai pas eu des masses... J'en ai eu deux et j'ai trouvé le moyen non seulement de les avoir quasi en même temps, mais en prime de les paumer ! L'une il y a déjà quelques mois, l'autre récemment (la perte, pas les histoires) ! Je ne me suis jamais sentie aussi vide qu'en ce moment, et je rame entre l'envie de me jeter par la fenêtre et l'envie de me pendre ! Le décor est planté !
D'un coté une histoire d'amour que j'ai eu l'impression de vivre en demie-teinte, qui a foiré comme un pétard du 14 juillet balancé par un pré-ado, et de l'autre une amitié fusionnelle qui a trouvé ses limites dans l'ultime partage, contre toute attente. En fait c'est ça, ma vie se résume à du "contre toute attente"... C'est l'autoroute du bonheur et finalement tu finis sur les chemins de campagnes en priant pour ne pas finir dans le fossé. Le tout sous une pluie battante, histoire de ne pas bien savoir où tu vas.
Le problème de l'évidence, c'est qu'elle ne part pas du jour au lendemain, simplement parce que tu décides que c'est terminé, ou même que les évènements ont fait capoté l'affaire ! Nan nan nan, ca reste, c'est là, ça te grignote les tripes, quoique tu fasses, quoique tu vives ! Pire, l'empathie, Le Lien, te balance des émotions que tu n'as pas demandé... C'est comme avoir perdu une jambe et avoir des béquilles disponibles de façon aléatoire. Aujourd'hui ca roule, demain c'est la panne sèche. Hier et demain n'ont aucune continuité, au milieu, c'est n'importe quoi.
Ces derniers temps, j'ai reçu plusieurs messages difficiles à gérer, parce qu'ils disaient la même chose... "Je sens que nous avons quelque chose à vivre, laisse moi une chance". Une chance ? Plutôt une place, et de la place, il n'y en a pas. Entre la culpabilité de faire souffrir les gens et l'instinct de survie qui exige la distance. Je prends pourtant le temps de prévenir qu'il ne faut pas s'attacher à moi. A croire que les femmes sont masochistes et aiment galoper après les casse-couilles ! Ouai bon ok ca aussi c'est une évidence ! Mais je ne suis pas une salope et je ne veux pas en avoir l'impression... Mais à trop éloigner les autres, on finit par éloigner ses amis. Alone in the dark !
Et ce soir, cet ami m'a rappelé que ces fichues évidences ne sont pas vaines, qu'il y a un avenir, un retour. Qu'une absence, une distance, ne met pas un terme à une relation. Vivre séparés un temps ne veut pas dire qu'il n'y aura pas de retrouvailles... Et qu'au contraire, ça aura lieu, qu'il faut se laisser le temps... Ce n'est pas fini, c'est une pause pour que l'après puisse exister ! S'il n'y a pas de doutes, c'est que les mains pourront encore se toucher...
Je t'ai reconnu. Je t'aime, où que tu sois, je t'attends quoique tu vives. Tu es là, tu es en moi.
Je ne suis pas seule. Tu n'es pas seule. Temporairement, tu es loin.
Mais...
Inexorablement...
On se revient...
mercredi 6 juillet 2011
Fred et Farid - L'agence de mauvais ! C'est vomitif
Chez Fred et Farid il n'y a qu'une idée et en plus il n'y a qu'une chorale !
Vous aussi vous trouvez qu'ils ne se sont pas foulés pour la bande son et qu'elle rappelle étrangement Pulco (que j'ai déjà massacré sur le blog) ?? Ca m'a sauté aux oreilles !
Et comme d'hab, des gonzesses qui sautent !
Sérieusement, je ne comprends pas qu'ils aient des clients !
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